Zitate aus dem Buch «La grande ombre»
Ainsi, lorsque je me promène par la campagne, si je regarde par là-bas, du côté de Berwick, je puis apercevoir les petites traînées de fumée blanche, qui me parlent de cette singulière et nouvelle bête aux cent pieds, qui se nourrit de charbon, dont le corps recèle un millier dhommes, et qui ne cesse de ramper le long de la frontière. Quand le temps est clair, japerçois sans peine le reflet des cuivres, lorsquelle double la courbe vers Corriemuir.
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12+Veröffentlichungsdatum auf Litres:
28 September 2017Umfang:
160 S. 1 IllustrationRechteinhaber:
Public Domain