Buch lesen: «Un Plafond En Frêne»

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Gerardo D`Orrico

Table des Matières

  Copertina

  Gerardo D`Orrico Un plafond en frêne Journal Traduit par Nevia Ferrara © 2021 - Gerardo D`Orrico

  UUID: Ce livre a été créé avec StreetLib Write (http://write.streetlib.com).

  Courte biographie

  Préface

  1. Mélange et deux 28.04.2007

  2. Obero, l’acte d’oppression 28.07.2007

  3. La chanson du futur 14.09.2007

  4. Arachnophobie 20.11.2007

  5. Rester sans égal 22.12.2007

  6. Ce qui est bon ne peut pas être surmonté 30.01.2008

  7. Laissez le fascisme pour toujours 29.02.2008

  8. Les rêves, le temps 31.03.2008

  9. La guerre d’Hippocrate 30.04.2008

  10. Action de recyclage 31.05.2008

  11. Mots qui ne peuvent pas être utilisés 30.06.2008

  12. Le jour du rat est sa mort 31.07.2008

  13. Le fait que ce n’était pas moi, ce n’était pas toi Est, été 08 - 31.08.2008

  14. Un plafond en frêne 15.09.2008

  15. C’est une crise d’identité choquante 30.09.2008

  16. Double liberté 30.10.2008

  Remarques

  Épilogue

UUID:

Ce livre a été créé avec StreetLib Write (http://write.streetlib.com).

Courte biographie

Gerardo D’Orrico est né à Cosenza le 6 mars 1976. Après avoir terminé mes études secondaires, j’ai fréquenté les universités d’Arcavacata et de Bologne mais sans diplôme, j’ai de bonnes connaissances en informatique et en quelques instruments de musique. Ma jeunesse était entre la résidence de Luzzi et Cosenza pour les études ou dans la ville natale de ma mère Villapiana sur la mer. J’ai fait de nombreux voyages en Italie et à l’étranger, après mon service militaire j’ai aidé mon père dans son travail et je me suis consacré à l’écriture en prose ainsi qu’à la poursuite de ma passion pour l’informatique et la programmation de logiciels, j’ai créé et géré le site Web Beneinst.it, où chacun peut insérer gratuitement ses propres pages de journal dans des lettres, des poèmes, des dessins, des peintures ou des photos. J’habite à Luzzi où entre autres métiers et recherches d’art technologique, je continue l’écriture, la révision ou la publication de mes textes, jusqu’à présent j’ai écrit quatre livres sous forme de journaux intimes: 1. Le bon et le mauvais, les mémoires 2. Un plafond en frêne 3. Nous sommes déjà dans dix minutes et 4. Dis le toi-même.


Photo de couverture originale, GD 1986

Préface

Ce livre est la deuxième histoire manuelle sur la vie contemporaine et le journal personnel que j’ai écrit. La vraie joie que notre temps redonne à travers des expériences, non pas une découverte de nouvelles technologies mais une fonction dans différentes périodes historiques et géologiques, ce qui l’a déjà créée en fonction des explications, des événements et de leurs solutions. Une promenade à la lumière du soleil, des faits et des enchantements parfois jamais révélés, peut-être trop nouveaux et insolites, dans une communauté qui présente depuis un certain temps des besoins, comme une voix plus large et plus élancée, un outil pour mieux insister le jour vraiment et pas dans un rêve.

Journal écrit de manière simple pour une forme d’art textuel, pour justifier même une expérience initiale et inculte aujourd’hui. Dans le style, Ulysse de James Joyce devient un livre de bien compris comme forme de vie, d’art du présent, indispensable pour exister libre, vivant et sûr. La période des seize lettres contenues s’étend d’avril 2007 à octobre 2008, la traduction française est par Nevia Ferrara. Bonne lecture,

Gerardo D'Orrico

1. Mélange et deux
28.04.2007

Ne perdez jamais votre plume ou patience, n'acceptez jamais un mal à la maison, ce n'est jamais fini, quand ça semble fini ça ne finit jamais, les bonnes personnes sont nécessaires, même quand elles disparaissent toutes il y a toujours quelqu'un, quand il n'y a personne laissé là nous sommes. Il arrive à un moment qui ne fait pas partie de l'horloge d'exister, pendant ce qu'ils appellent le jour ou la nuit, le monde n'était pas tombé dans un état d'inconscience en effet il n'avait jamais été, en fait c'est un tel jour alors il ne serait pas un problème. Il y aura peut-être trop de monde, mais en réalité, il n’existe pas de loi fondamentale pour les structures humaines déjà établies en septième année.

Combien de voleurs, de nombreux avions à voler et veulent sur la planète. Aucun problème aux yeux d'une lumière cristalline claire, aucune incertitude à l'arrière de la voiture, aucune distorsion sonore. Les autres n'ont rien à voir avec nous, ce ne sont que des images et pourtant ils nous changent, la question se pose, je me suis dit il y a bien des années, quel est le problème de les retirer de l'image pour ce qu'ils se sont avérés être. La loi est la nôtre, la vie ne devient pas une centrifugeuse. Vous montez en niant le mal, ne dites jamais qu'il n'existe pas, vous devez plutôt vous organiser pour l'infini... ce qui de toute façon vous ne pouvez pas rester ici sans lui. Le mal a été combattu depuis la mort de Jésus, mais j'étudie toujours ce qu'il nous fait dans ce siècle, peut-être pour cette raison que le temps pourrait être une tromperie qui cache le ciel, ce seront ceux qui prendront soin de ne laisser personne partir, ou l'absurdité de «inverser le mal par le bien». Un mal ressemble à une nature morte, tandis que les autres personnes en caoutchouc.

Les allégories ne sont pas très digérées par les logiciels d'entreprise nationaux mais, je vous assure, elles sont une clé primaire pour comprendre où mettre les pieds en avant, c'est difficile à comprendre, même les choses simples sont impossibles. Mon visage ne sera pas le mien, que s'ils le font je ne voulais que la liberté d'expression, ce qui peut être donné sinon l'enveloppe de ce que nous sommes, tout le vrai ou le faux que l'on ne sait pas, rien ne s'arrête mais il y a des règles qui ne peuvent pas être séparés, avec la tromperie qu'ils n'existent pas. Cela reste une photocopie de ce que c'était ou de ce que tu veux être avec insistance, de ce que la vie ressent alors comme la paix ou, un point de départ vers ce qu'ils ne nous laisseront jamais vivre, pour me libérer je ne sais même pas ce que j'ai fait un certain nombre de choses positives et d'autres négatives.

Libérez tout mal et vous verrez que vous serez seul, ils m'ont dit qu'il était arrivé, puis j'ai vu à qui il était associé, c'est-à-dire en pensant à cet abîme dans lequel le monde est injuste. Vous pouvez vous échapper, courir puis vous vous fatiguez, tirez puis les munitions s'épuisent mais, un jeu a déjà commencé, nous sommes à l'intérieur, il suffit de suivre les flèches, qui nous voit n'est que Dieu pour le moment, ça ne s'arrête pas si vous ne vous arrêtez pas, si vous essayez d'arrêter, ils vous tirent dessus mais, vous ne pouvez pas vous échapper pour toujours, il y a ceux qui se sont échappés pour toujours mais, cela ne semble pas le chemin de ceux qui doivent mourir sur le terrain. Le contraire d'un plan idéal moderne est la journée normale, le quotidien. Une bouffée d'air frais, comme c'est cher ici en Italie, on paye pour respirer, on donne des émotions d'amour ou d'autres œuvres qui sont au contraire ce que chaque instant continu devrait être.

Un bien peut sembler une exagération de ce que c'est d'être toujours heureux, quand on est amoureux, ivre ou payé, pas une invention. Normalement je ne tue pas les madones, je n'offense pas, je ne transgresse pas ce qui est bien, il y a ceux qui nous conseillent de le faire, alors il sera logique qu'on se sente mal ou avec tous ces problèmes, tous ceux hurle dans la maison des gens qui se contreviennent, sans même savoir pourquoi tuer un faux bien, ou quoi vraiment plus que les autres. Leurs idoles seront des suicides, leurs dirigeants peut-être des âmes asservies d'une vie après la mort et ils adorent là-bas, des esclaves de l'enfer aussi ou, ils n'ont jamais pu avoir une idée de ce qu'est l'enfer, alors ils veulent voir. C'est bien d'aller au-delà de l'enfer, de scruter ce que l'on voit, car le mot ne suffit pas... il faut aller plus loin mais en réalité plusieurs fois tu viens déjà de passer, on est déjà libéré de l'espace qui tourne autour de nous, nous devons nous respecter avant tout, mais nous restons comme si nous venions de naître, et nous ne savions pas comment le faire. Le temps forme ce qui est juste, la première trace de la direction visuelle et sonore de notre être, la première chose à faire est de ne pas s'offenser, puis les dix commandements, une surprise sera de trouver au bout du chemin Dieu, un qui veut nous tuer.

Une grosse erreur reste de croire qu'un mal pourrait être un bien... un mal est un mal, il veut que le mal, le même bien un bien arrête, au contraire j'entends des gens tous les jours qui veulent en discuter. Certes ce sera une résolution mathématique, entre ce qui compte et ce qui reste mais, l'après c'est tout comme dire le total mais pas même parce que même après, comme le dysfonctionnement distribué encore aujourd'hui, il ne peut être récupéré ce soir, sans l'utilisation d'agents extérieurs, on peut être des zombies toute la journée, puis se libérer le soir pour se suicider. Hier j'ai vu un mal pour le bien, aujourd'hui je suis très conscient de l'ennemi qu'ils ont déjà dessiné, de ce que les ruines vivent pour voler leur essence. Un bien n'a jamais rien volé est une explication de ce que vous emportez avec vous, à l'intérieur vous vous retrouvez, je pense que c'est complet après la fin du monde, le paradis. Un mal est juste devant nous, toute la journée nous faisant devenir un beau zombie, un humain sans mouvement, à la fois physique et mental, cela semble tout au plus une liberté individuelle, une copie d'un bien qui devrait être bon aujourd'hui. Nous voici en Italie qui commence au nord et se termine au sud, tout le territoire vit avec les mêmes lois, propriété et liberté d'opinion. L'absence de mal dans le recueil est une erreur que l'on paie quotidiennement à la relation aux autres, il est toujours bon qu'elle résout tout, les incinère il ne reste que quelques bévues dans cet enfer des oubliés où nous avons fermé.

Puisque les environnements là-bas veulent décider les autres, une honte telle qu'elle est écrite, nous fait oublier d'aller au-delà de ce que vivent les autres... il me semble que les environnements humains où nous vivons ne sont pas du tout inscrits dans le droit italien, à en même temps, je ne vois presque rien et personne ne le fait. Illégal comme si de rien n'était, un travail public pour niveler la lumière a toujours été le travail de quelqu'un, eux-mêmes se vantent de qui sait ce qu'ils ont fait, d'autres le louent. Je crois que de nos jours, de petites manœuvres politiques, bureaucratiques ou juridiques créeraient un système stable, sans l'aide manuelle de l'homme, au contraire, il y a ceux qui veulent encore plus de sang, des gens qui sacrifient leur vie pour soutenir le poids d'une société qu'elle n'est pas, ou ne veut rien faire, qu'il doit mourir selon les calendriers astraux. Rêver d'un monde meilleur, c'est mourir chaque jour pour tout le monde, la tromperie a déjà été découverte, l'avenir est déjà un fait, cette forêt sera émue de revoir, de voir un homme, merci.

Aujourd'hui je pars pour des vacances très proches de ma famille, au sanctuaire de Santa Maria delle Armi à Cerchiara di Calabria. Un mal n'est pas un bien, comme d'autres malheurs de cette époque, malheureux notre vie destinée à suivre, dans un très bon sens nous serons vengés par l'avenir. Les coups tu sais, ils arrêtent les gens qui ne peuvent pas les supporter, qui sont fatigués ou qui n'ont plus d'arguments pour expliquer leur super arrivée sur la planète. Je suis un peu ivre de disgrâce en disgrâce, le bien n'arrive que dans la lumière, parce que c'est un brillant mais, peu importe celui qui a choisi pour moi, pour toi, car tout le monde sera déjà passé.

La solitude est un cadeau rare, un moment précieux, combien il vaut la peine d’être seul.

J’essaye de comprendre les aiguilles d’une horloge car elles effacent la mémoire, je fume une cigarette alors que je ne sais pas si je dois t’oublier ou, assurez-vous de vous garder, résistez pour vous retrouver. Bisous, G.

2. Obero, l’acte d’oppression
28.07.2007

Des coups pour nous rendre inconscient du jour qui s'apprête à arriver, en plein jour ou le soir pour comprendre aussi comment frapper les autres ou, pour se personnifier, pour nous enlever notre identité... je me suis rendu compte en même temps que si Moi ou quelqu'un d'autre présente ou agit pour de bon, je ne peux pas rester dans une position immobile. En attendant, je trouve la journée déroutante, sans objectifs, puisqu'elles ont été annulées depuis le début de la journée, je pense que cela a été fait à tous ceux que je connais, impliqués dans le fait de devoir faire les choses qui devaient être faites. Des événements qui se transmettent en attendant la fin des temps, aussi parce que comme je le sais déjà, un bien a des prérogatives, nous devrons aussi faire ce qui nous a enlevé le dérangeait et devait être fait, comme l'environnement du village aussi un citoyen maigre, annulé dans les forces de l'hôte de ceux qui ne savent que pour déplacer un être humain d'avant en arrière. Avec une difficulté aussi évidente, nous sortirons certainement de cette situation ou de ces ennuis, nous ne pouvons tout simplement pas continuer indéfiniment, nous ne sommes pas un infini corporel, mais le fait que quand tout se brise, nous le reconstruisons, pour fonctionner à nouveau comme si de rien n'était, j'espère toujours dans votre clémence et dans votre bienveillance, les derniers mots de ceux qui se réjouissent parfois de cette réalité, comme une bouteille sera déjà terminée. Le temps le fait grandir… oui bien sûr, chaque acte n'est pas faux car il fait partie d'une vie, mais il y a des actes manifestement mauvais dans son cours, certainement mais pas, en buvant de l'eau de Javel. Bien sûr, ils veulent nous tuer, même pour dire ou faire, les personnes présentes ne peuvent pas voir les objets en mouvement, surtout la tête, ne veulent pas me blesser mais, je la porte toujours avec moi parce que je vis dans la journée, aujourd'hui le moderne.

Ces problèmes sont personnels, pas malades, alors ce sera un droit à la vie privée ou un vol, il n'y a pas besoin d'un moment à l'autre d'aller voir si un mal est toujours une mauvaise chose, c'est bien aussi un bien, cependant, à cinq minutes du matin vous comprenez déjà que ce n'était pas vraiment pour faire ce qu'il fallait aujourd'hui, comment ils le disent, ce qu'ils nous ont promis ou, ils vont nous faire faire. Cela vous tuera, soyez sûr mais seulement si vous resterez toujours immobile, pas plus, bref, en réalité, le temps lui-même enlève ces choses qui ne peuvent pas être faites, comme si quelqu'un vous rappelait toujours un jour que vous mourrez, alors que vous le ferez rester toujours belle et vivante. Vous êtes sûr d'être en vie… c'est un fait très important dans le grand nombre de personnes présentes, comment n'aimez-vous pas sortir et trouver les prochains qui parlent? Vous savez que le temps lave tout. Un asocial après cinq ans change de personnalité, devient très social, amical, c'est ce que fait la société moderne. Ceux qui réalisent ces «preuves du bien» ont une renommée existentielle en tant que meurtre, comme ce n'est pas très clair pour certaines causes on meurt et personne ne l'admet, on pourrait être l'hypothèse du mal.

Alors vous étudiez votre bombe à retardement pour ne pas vous retrouver dans cet endroit quand elle explose, puis vous inventez un bar où vous pouvez être indifférent ou, faites quelque chose que vous aimez, puis continuez vers votre ville pour aller déjeuner, dîner, puis bleu, il faut bouger même si on retombe en soi, forcément parce qu'on ne peut pas toujours recommencer. Il valait mieux mourir, disaient-ils en Italie, puis finalement la mort était au bout de deux heures, ce n'était pas du tout un bonheur mais de ce que c'est personnellement... de n'avoir rien fait et de faire semblant de ne pas mourir.

Continuez à vivre, ne faites rien, vous mourrez simplement, alors ne croyez pas en cet environnement pas très coloré, un mal ici sera de l'argent, vous ne pouvez croire qu'en notre oui, en écrivant: nous ne sommes pas très intéressés par le mal, et le important qu'on ne nous ait pas donné, ils ne peuvent pas nous dire dans dix ans que nous sommes des pigeons ou des petits, si nous étudions autre chose. Le poids corporel n'est pas seulement de l'eau, vous verrez que vous ne descendez plus sur terre, puisque moi non plus je ne descends jamais, car je ne serai jamais tombé dans le mal, alors calmez votre âme en parlant de mensonges apaisants. Ce front n'est qu'un outil commercial, plus tard il s'ouvre dans le fantasme, sinon il n'y a pas de contraire à un seul ou une raison qui fend la vie, la vie ne continue-t-elle pas ce soir? Aucun effet de levier, aucune prise, aucun mal, pensez à l'avenir de ma part. Un garçon vit, mange la fête... il n'a rien à voir avec ça, plus que toute autre chose tu n'as jamais appelé aucun des humains qui ne sont qu'une idée, il rit sans être un imbécile, ce n'est pas quelqu'un qui devient fou avec le mal ou, qui n'a jamais eu d'avenir. Quelqu'un viendra vous arrêter, un voisin ou deux, ils vous diront d'arrêter de faire ce que vous faites... si vous ne comprenez pas le présent, pensez que c'est l'avenir.

Ok ne faisons plus rien, détendons-nous dans notre soirée ou, la soirée n'est plus à nous mais à ceux qui ne savent pas, ça vous semblera étrange peut-être que vous le savez déjà, ils sont heureux de mourir, nous ne le savons pas, nous le faisons ne fait aucune différence. Ok alors ça ne marche pas, ça est déjà passé ou ça va arriver ok, alors ce n'est pas là, pourtant ça vient cependant, mais encore une chose, vive le communisme s'il y a encore des communistes, vivre avec sera séparé de le fascisme dans la vie, un parasite penché à droite est ce qui parvient à vous empêcher de parler si la solution est des êtres, pense que les autres seront aussi des êtres, mangent bien mais en bonne santé. Entrez dans votre bien-être ne pensez pas à supprimer des maisons, quand le passé est un passé, le présent sent toujours bon.

Ce n'est pas le cas, donc personne ne le sait, donc qui veut... après les intérêts ne seront pas les leurs mais les nôtres. On se repose sans participants, sans amours comme les mûres, visons le centre, ils veulent nous voir dans un bar en train de prendre un café ou à la maison, puis sortons comme Mathusalem quand elle sort de la baignoire, ça va. Peut-être que ce n'est pas là, peut-être que cela ne respire pas la tromperie d'un monde incapable de réaliser les deux pieds et l'intérêt entre nous. Je suis blanc, jaune, la couleur de l'eau pour un mal qui a été surmonté, tandis que je suis vert parce que je t'aime toujours. Un mal n'est pas un ami mais une forme terne qui rassure les gens, pour que rien ne se soit passé, mais plus tard peut-être il nous attaquera, car l'avenir est accompli. Il n'y a pas de contrôle, le passé est une fenêtre sur l'avenir, le monde ne le voit pas, sa présence n'est jamais dite, car elle est fausse... c'est un cauchemar.

Alors aujourd'hui tout n'est pas bon, tout n'est pas entré... ne dis pas que je te l'ai dit, le poison sera comme ça, la vie n'est pas éternelle, comment vas-tu rentrer chez toi sans ange, sans manger et sans dormir, sans même comprendre pourquoi vous avez été en vie. Ici nous n'avons pas été tous ensemble mais, un par un, ne cachez pas le bon M. Personne, vivre et laisser vivre... combien de manières y a-t-il de mourir dans ces idées mal créées, une seule à vivre, ils ne nous l'ont jamais dit, ces grands patrons modernes, donc ça continue encore aujourd'hui, même si cela semble un diminutif ou une augmentation et donc nous vivons seuls, ou plutôt nous continuons dans l'impossibilité de chercher une équation décente ou, un produit cartésien qui nous produit, au lieu d'une émotion autre que l'amour ou, alors, complice du mal. Il sera tard donc il ne faut pas se plaindre, c'est déjà trop ce qu'on a, trop vraiment, une exagération... on voit que ce produit à manger dans la cuisine dit quelque chose, puis les habituelles montent et descendent les escaliers, eh bien, essayer de ne pas rencontrer quelqu'un, c'est impossible, peut-être que nous aurions la mauvaise année, vous savez qu'ils font ça à tout le monde.

Quiconque a commis une erreur la laissera mauvaise, que pensez-vous de la création d'un panier, d'un trou. Ici, il n'y a vraiment que de beaux produits emballés, à utiliser seulement pendant longtemps, pour ainsi dire nouveau, et puis il ne peut pas être augmenté alors que ce qui faisait le mal n'était pas un panier mais, seulement toutes les maladies réunies dans le vide ou, ce qui vous fait perdre le bien de ce que je comprends, ils ressemblent à un être adulte qui grandit et ne comprend pas sinon parfois, si alors ils vous trouvent que vous comprenez, ils vous attaquent comme ça, jusqu'à ce que les pizzas et les gâteaux soient fini... s'ils ne sont pas déserts, ce sont des bagatelles comme toutes les maladies, bon appétit.

“Pour sortir d’un piège…” Salut, G.

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€2,99

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Altersbeschränkung:
0+
Veröffentlichungsdatum auf Litres:
22 April 2021
Umfang:
131 S. 3 Illustrationen
ISBN:
9788835421863
Übersetzer:
Rechteinhaber:
Tektime S.r.l.s.
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