Le pays de cocagne des plaisirs

Moi, un esclave de plaisir romain parfaitement formé et d'origine germanique, j'ai été vendu aux enchères à Aurelia, une dame de la haute société de Rome. Nous vivions là, avec sa jeune nièce Diana, dans une villa de luxe. Par excès de confiance et d'insouciance, j'ai surestimé mes capacités et j'ai échoué deux fois de suite avec ma maîtresse, ce qui m'a fait passer de l'Olympe du sexe à l'Enfer des esclaves. Après de longues souffrances, j'ai été sauvé par Diana, que sa tante avait envoyée en cure. Comme cela correspondait davantage à son penchant, la nièce avait entre-temps acheté aux enchères une esclave sexuelle de la «schola Veni in Pompéi» [école d'esclaves à P.]. Elle s'appelait Brigitta. Nous formions toutes les trois une équipe parfaite. Brigitta a d'abord enseigné à Diana quelques exercices de sa formation, puis les deux femmes m'ont «éduquée» d'une manière très particulière. Mais à la surprise générale, Aurelia est revenue. Elle était soudain très belle, car elle s'était entraînée volontairement à l' école de Vénus de Pompéi pendant quelques semaines et se vengeait terriblement sur nous trois.