Peu à peu, les lieux loués ont fusionné avec l'ancienne slobodka et le nom «location» est passé à la partie de l'ancienne slobodka, qui se trouvait sous la montagne. La fusion finale a eu lieu pendant les années du pouvoir soviétique, lorsque, à la fin des années 30, le côté Sud de la rue de la Poterie 1 a été construit, maintenant Musa Jalil (Jalil (Zalilov) Musa Mustafyevich (1906-1944) est un poète soviétique tatar, Héros de l'Union soviétique, lauréat du prix Lénine, exécuté par les fascistes dans la prison militaire de Moabit à Berlin).
L'avancée de la slobodka et des lieux loués vers l'ouest a été entravée par la nature basse du terrain et la présence d'un lac de Bain. Ce dernier a duré jusqu'en 1957, quand il a presque tous été bombardé pour l'attribution de places pour la construction individuelle. En 1959, il y avait déjà de nouvelles rues.
Le District scolaire d'Orenbourg a joué un rôle particulier dans le développement de l'éducation dans la province d'Orenbourg. En 1875, il a été décidé d'allouer du District de Kazan un District scolaire séparé d'Orenbourg, qui comprenait des établissements d'enseignement situés sur de vastes places. Aujourd'hui, sur ce territoire se trouvent les régions du Bachkortostan, d'Orenbourg, de Perm, de Sverdlovsk, de Tcheliabinsk, de kustanai, d'aktioubinsk et de l'Oural. La tâche du District scolaire était de créer un réseau d'établissements d'enseignement, de contrôler son fonctionnement, d'aider à fournir aux établissements d'enseignement du personnel pédagogique et des moyens pédagogiques. Le premier de ses administrateurs a été nommé P. A. Lavrovsky, un philologue de l'éducation, une personne qui avait des travaux scientifiques sur la philologie slave et une expérience du travail pédagogique et organisationnel en tant que recteur de l'Université de Varsovie. Au 1er janvier 1875, c'est-à-dire au moment de l'ouverture du District scolaire d'Orenbourg, sur son territoire, dans les villes d'Orenbourg, Troitsk, Uralsk, Oufa, Perm, Esa-terenburg, il y avait six gymnases masculins et un progimnazia masculin à Menzelinsk.
La croissance de la production industrielle et agricole, le développement de la culture et du commerce dans la province d'Orenbourg au XIXe siècle ont provoqué un besoin sans cesse croissant de personnes instruites. Bien que lentement, le réseau d'établissements d'enseignement dans la province s'est élargi. De nouveaux établissements d'enseignement ont été ouverts, y compris des écoles primaires urbaines et rurales de différents types et sous-Catégories départementales, des écoles progymnasiques, des séminaires et des écoles de théologie. À Orenbourg, en particulier, on a ouvert un second corps de cadets, un institut d'enseignement, un séminaire, une école spirituelle, une école d'artisanat, une école diocésaine de femmes, etc.
La politique éducative active au XIXe siècle a été menée par le gouvernement de l'armée cosaque d'Orenbourg. La première école dans les colonies cosaques a été fondée en 1823 dans le village de sakmar. Il a été conçu pour les élèves 40 parmi les enfants Seniors et cosaques. En 1835, le nombre de ces écoles est passé à trente, et en 1848, les écoles ont été ouvertes sous chaque gouvernement de village. Leur nombre a atteint 69, 1350 étudiants de sexe masculin y étaient engagés (sevastyanov S. N. éducation Scolaire dans l'armée cosaque d'Orenbourg pour 1819-1895, Orenbourg, 1896). Depuis le milieu du XIXe siècle, des établissements d'enseignement pour les filles ont commencé à s'ouvrir dans les villages et villages cosaques, ainsi que dans les écoles pour garçons.
Selon les données du "essai Statistique de la province d'Orenbourg", 1892, pp. 17-19, caractérise les résultats du développement du réseau d'établissements d'enseignement dans la province d'Orenbourg à partir de 1890. Il ressort de ce tableau qu & apos; en 1890, la province comptait 630 établissements d & apos; enseignement qui comptaient 36 052 élèves, dont 26 062 hommes et 10 590 femmes. L'augmentation du nombre d'établissements d'enseignement et d'élèves par rapport aux années initiales du siècle, où il n'y avait que quelques écoles, est notable. La croissance du nombre d'écoles dans la seconde moitié du XIXe siècle est particulièrement significative, en particulier les écoles de type élevé qui ont donné l'enseignement secondaire complet et incomplet, l'enseignement professionnel secondaire (Bolodurin V. S. Éducation et pensée pédagogique à Orenbourg. Édition du livre d'Orenbourg, 2001, P. 29).
Cependant, il ne faut pas exagérer les résultats du développement de l'éducation au XIXe siècle en Russie en général et, en particulier, dans la province d'Orenbourg. La Russie a continué à être très en retard par rapport à la plupart des pays européens et aux États-Unis en termes de diffusion de l'éducation. À la fin du XIXe siècle, un certain nombre de ces pays ont institué l & apos; enseignement primaire obligatoire. Les indicateurs de développement de l'éducation dans la province d'Orenbourg étaient inférieurs à la moyenne en Russie. Au XIXe siècle, la province a continué d'être parmi les régions arriérées du pays, en particulier dans la formation de l'enseignement secondaire et supérieur. En Russie, en 1892, 167 gymnases pour hommes, 143 gymnases pour femmes et 105 écoles réelles (Dnipro E. D. École en Russie dans la seconde moitié du XIXe siècle//pédagogie soviétique, 1975, n ° 9, P. 113) dans la province d'Orenbourg, seuls deux gymnases pour hommes et un pour femmes fonctionnaient. La première véritable école, dont le programme reflétait davantage les demandes de la nouvelle société technocratique naissante, n'a ouvert ses portes à Orenbourg qu'en 1895. La situation de l'enseignement secondaire dans la province n'a pas été améliorée par la présence de deux corps de cadets, d'un séminaire, de l'institut Nikolaev pour l'éducation des jeunes filles et d'une école diocésaine pour femmes. Les établissements d'enseignement supérieur à la fin du XIXe siècle dans la province d'Orenbourg n'étaient pas du tout.
Littérature utilisée
Bolodurin Vs Éducation et pensée pédagogique à Orenbourg. Éditions du livre d'Orenbourg, 2001
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