Palpitations

Teaser noir

Une nouvelle aube va se lever

Nuit et jour, se coucher nue sur une couverture

Les bras enveloppés et des câlins chaleureux

Ils n'ont pas voulu interrompre leur communion dans la précipitation

Les deux membres se sont emmêlés et démêlés

Des figures caressantes et en forme de ventouse

La nuit, le nez sur la nuque douce du jour

Faisant courir ses articulations sur sa forme légère

La taquinant et l'hypnotisant de baisers nuageux

Il ne voudrait pas la laisser partir

Elle est sa brillante torche

Le briquet à sa capuche sombre

Oh mon chevalier, arrête, tu dois partir maintenant

Il s'étend et se couvre partiellement les cuisses avec les siennes

Oh non, tu dois descendre de ta chenille de nuit

Tu dois aller graver les lits de tes nombreuses maîtresses

Tu es l'homme de toutes les femmes, pas le mien

Pars maintenant, tu ne dois pas les faire attendre

Elles se sont réveillées de l'aube au crépuscule

S'occuper de leurs sujets, les guetter

Pour que ta couverture se repose et se détende

Dans la bonne chaleur que tu portes

Personne ne peut dire si tu as des sautes d'humeur

Il est parfois horrifiant et douloureux de

Faire des cauchemars ou d’étreindre le corps avec des mains froides

Je remercie le ciel d'en haut de m’avoir offert les meilleures humeurs

Sur toi chaque fois que tu gratifies mon cabinet

Tu es le chevalier craint et sans peur

Tes taquineries sont source de satisfaction et de mécontentement

Bien que je sois jaloux, je veux que tu emmènes avec toi

Cette ambiance romantique à tes prochains avoirs

Laisse-moi maintenant, chevalier errant

Je dois éclairer la forteresse de toute ma lumière

Il s'agit de mon poste en tant que prévision régionale

Et bien sûr, tu dois aller de l'avant

Pour te couvrir de tes maîtresses dans d'autres domaines

Notre destin est de rester célibataire mais de nous mêler

Être compagnon pour des périodes courtes

C'est le lot que nous devons supporter

Vague sur Teaser

En un clin d'œil, on se fait des bisous et des bises

En se serrant lâchement, ils se séparent lentement

Son chevalier est parti

La passion de la nuit d'antan ensoleille son corps

Des étincelles rayonnantes qui illuminent sa peau claire

Elle devient lunatique, son chevalier lui manque

Elle ne pouvait plus se retenir

Des larmes de nostalgie tombent de ses yeux nuageux

Pluie de larmes sur ses joues et bénédiction sur son menton

Cherchant la chaleur et la fermeture de son armure

Il se demandait s'il recevait de l'aide

Avec ses autres marguerites

Enfin, il est revenu vers elle

Il a dû être submergé

Il marchait lentement sur son étalon

La couvrant cette fois-ci de manière exhaustive

Leurs étreintes ont été tonitruantes

Elle a souri à la pleine lune

Ses yeux scintillant d’étoiles

Son chevalier est là, tout le reste s'arrête

La nuit, l'amoureux de l'univers

Le Teaser noire

Jurons

Avant de porter ce coup

Cela m'étouffe la poitrine

Raie la mention ‘mon sexe est infirme’

La nativité a rythmé notre âme et nous lie à nos amis

De ta côte, je prends ton souffle, je respire

Avant de donner ce coup de poing

Ce coup de poing qui stupéfie mon affection

Couve un instant, mon cœur est fragile

Mon corps est aussi doux que mes murs

Ça glisse avec ton liquide, mes côtes ne peuvent pas s'écarter

Ton épée de feu me coupe pour me faire gémir de maladie

La pression des coups de houe pour incliner les brûlures

Elle aveugle comme un arc de soie à mon sol

Elle devient sourde comme une cellule de brique

Ne m'écrase pas, tu dois apaiser mes os

Frappe-moi avec amour, pas avec ton arc

Nourris-moi d'adoration et non de ta flèche

Aux gènes de la nativité est attaché

Mon ego aussi fragile qu'un œuf

Mon esprit feint la férocité ; il s'adonne à la ruche

Avant d'enfoncer des nectars dans la langue

Tamis de la sagesse cristalline, ma psyché jonchée de suprême

Le sablier du temps est soumis à mon sexe

Avant que tu ne troubles ma fierté

Que tu ne l'encadres meurtrie comme l'anus du babouin

Exposée, brute, et rouge en alerte

Mon corps est aussi bercé que mon épée

Si tes murs peuvent lui donner une douce douceur

Nourrir sa succulence humilierait ma fureur endurcie

Ne me fais pas mal, ton pouvoir peut me faire renaître

Embrasse-moi avec tes roses, pas avec tes piques

Nourris-moi de ton amour et non de tes haines

Holey, je suis en cage dans ces dédoublements de scission

Éclaboussures de ma position, mes traques s'arrêtent

Ils commencent à me faire un coup, à affaiblir mes racines

Souhaitons à notre amour un miel corné

De son amertume, on tire la douceur sur les arrière-goûts

Souhaitons à notre arbre d'amour la frénésie de la colline

De ses tiges, son point culminant se répand sur les massifs fleuris

Notre amour fera des branches

Comme toujours, ma fleur se dessine

Soupirs, mon Jardinier me les tend bien

Quand notre amour se flétrit avec soin

Notre amour serait sain d'esprit

Notre amour fera des verts

Son boisement à feuillage persistant

Il serait célèbre pour sa graisse de post-traitement

Mon ego serait à jamais préservé vert

Alors que notre amour s'étourdit pendant des années