Chronique d'une Bimbo 2

Chronique d'une Bimbo
Épisode 2

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Copyright original © 2018, par Laetitia Guivarché.

Avant-propos:

Annika Wagner, est une jeune femme intelligente. Mais en raison de ses dettes à un jeune âge, elle recherchait une clientèle fortunée sur Internet. Et elle l' a trouvé. Marcus Alexander, homme d'affaires multimillionnaire et prospère, l' a prise sous son aile.

Mais Marcus ne les soutient pas par charité. Avec sa "main droite" Björn, il a transformé la jeune femme sûre d'elle en un jouet sexuel stupide. Une poupée sexuelle vivante, une bimbo.

La partie 2 se connecte directement à la fin de la partie 1. Après que Björn dut observer comment Marcus donna Alexander Annika à plusieurs amis, qui l'avaient maltraitée à plusieurs reprises lors d'une soirée dans le pub de Tyler, il commença à renverser la "bimboification".

Mais peut-il réussir? Annika reviendra-t-elle comme elle était? Et pourquoi Björn trahit-il son patron?

Chapitre 1 - Fissuration des tessons

Dimanche 29 juin 2014: Alors que Marcus passe le dimanche dans sa villa avec sa famille, Björn est tourmenté par les événements d'hier. Il avait du mal à trouver le sommeil aux premières heures de la journée. Il était un peu avant six heures quand il s'est endormi. Mais il pouvait à peine faire un oeil. Il voyait constamment les images devant son œil intérieur.

Comment Bibi, en dépit des humiliations les plus grandes, a pu faire taire Marcus et ses "semblables". Sans fierté, sans dignité, comme le bétail maltraité. Il ne pouvait pas l'oublier. Le visage taché de maquillage, sa robe mouillée et collante. Taché de bière, de sperme et de salive.

Encore et encore, il la vit attachée au tuyau de chauffage. Prêt à grimper et à être utilisé comme un objet jetable. Et il avait ses voix à l'oreille tout le temps. Les hommes rieurs et souriants. Comment ils se sont moqués de Bibi, comment ils ont pris tous les genres d'humanité de Bibi.

Il entendait Marcus. Avec ses paroles vantardes, ses paroles humiliantes. Et il a entendu la voix de Bibi qui gémissait. Comment elle essayait de plaire à tout le monde. La façon dont elle s'est humiliée sur ordre. Comment elle a donné la dernière étincelle du libre arbitre quand elle a demandé plus et remercié les hommes gras pour cela.

Björn était en mauvaise posture. Et sa conscience coupable tourmentait son esprit. Il a décidé de rendre visite à Bibi. Il voulait la voir. Assure-toi qu'elle va bien.

Vers 17h00, Björn arrive à Bornheim. Lui et sa Mercedes se sont garés dans la cour du grand immeuble. Son arrivée ne passera pas inaperçue. Différents locataires le regardent à travers leurs fenêtres avec vue sur la cour. Björn monte à l'étage chez Bibi.

Quand il arrive enfin à son appartement, il voit quelque chose sur la porte blanche. Là-bas, quelqu'un a écrit le mot "KURVA" en grosses lettres rouges avec un feutre. Dans diverses langues slaves, ce mot signifie salope, pute, prostituée et diffamatoire.

En dessous il est écrit quelque chose d'autre en noir. Il semble être turc. Björn ne peut pas le lire, mais un pénis éjaculant est peint à côté. Le sens risque donc d'aller dans le même sens.

Björn sonne à la porte de Bibi. Bibi lui ouvre la porte. C'est dimanche, le seul jour où les services de Bibi ne sont certainement pas nécessaires. Parce que le dimanche est sacré pour la femme ignorante de Marcus. Même s'il a des rendez-vous le week-end dans la grande ville, il doit être à la maison le dimanche.

Bibi n'est pas du tout préparée. Pas de glamour, pas de bling. Elle ne se maquille pas, pas de faux cils. Pas de rouge à lèvres, pas de faux ongles. Son regard n'est pas du tout provocateur. Elle porte une combinaison rouge vin avec des accents blancs.

Björn:"Bonjour, Bibi".

Bibi:"Salut."

Björn la regarde dans les yeux. Le regard de Bibi est apathique, elle ne sait pas pourquoi Björn est ici. Et on dirait qu'elle n' y pense pas non plus. Bibi agit sur lui comme un mannequin, oubliant de l'élever à nouveau pour d'autres pas.

Ses yeux remuent de gauche à droite et de droite à gauche, tandis que Björn les fixe avec son regard. Il avait une grosse bosse dans la gorge quand il a remarqué les joues enflées de Bibi. Les gifles au visage de Marcus étaient une trace trop violente, mais il s'en doutait déjà hier.

Mais même si Bibi a l'air d'un tas de morceaux cassés en ce moment, sa vue le captive. Rarement dans sa vie, il a vu quelque chose d'aussi beau. Au cours des dernières semaines et des derniers mois, il a oublié à quel point la jeune femme, qui à cette époque écoutait encore le nom d'Annika Wagner, était belle.

Björn:"May I come in".

Bibi:"Bien sûr. Dois-je voir Marcus? Avons-nous lundi?

Björn:"Non. Je voulais juste vous voir ".

Bibi:"Je ne comprends pas ça".

Björn:"Tu veux dire que je ne comprends pas. Et c'est le but. Vous avez du café "?

Bibi:"Seulement pour remuer".

Björn:"Cela suffira".

Bibi demande à Björn à sa façon confuse de s'asseoir dans le salon. Il est assis sur le petit canapé-lit gris. C'est à la fois un canapé et un lit. Devant elle il y a une petite table ronde, toute blanche, plus en plastique qu'en bois. Mais Bibi a aussi une petite unité de logement social. Pas tout à fait 30,00 m².

Bibi a brassé du café pour lui et Björn. Goût de vanille, c'est son préféré. Elle s'assoit avec Björn sur le canapé.

Björn:"Comment allez-vous?"

Bibi:"Ai-je fait quelque chose de mal?"

Björn:"Non, tu ne l'as pas fait. Je veux juste savoir si tu vas bien.

Bibi:"Je vais bien. Tout va très bien ".

Björn:"La soirée d'hier a dû être très épuisante.

Bibi:"Hey, ouais. Hehehe, c'était lui ".

Björn:"Comment c'était pour toi?"

Bibi:"La soirée d'hier soir était épuisante".

Björn:"Oui, nous l'avions déjà dit. Mais je parlais de ce que tu ressentais?

Bibi déraille un peu les fonctionnalités. Elle ne s'attendait pas à cette question. Elle en est complètement débordée et ce qu'elle ne devrait pas répondre.

Bibi:"Je, je ne sais pas. Le maître a aimé ça. Je, je ne sais pas ".

Björn:"D'accord, laissez-moi vous poser une autre question. Vous avez aimé "?

Bibi:"Le maître aimait ça, hehehe".

Björn:"Oui, mais l'avez-vous aimé aussi? Ça t' a plu? Ou tu t'es senti mal à propos de ça "?

Bibi déchire ses joues sans qu'elle le sache. Elle s'agite. Tout son corps qui teint et résiste aux questions de Björn.

Bibi:"Moi, moi, moi,...".

Björn:"C'est bon, Bibi. Vous avez aimé ce que les hommes vous ont fait?

Bibi:"Non, non, non. Bibi n' a pas aimé ".

Maintenant, Bibi est en train de pleurer. Elle baisse la tête et frappe des mains devant son visage. Et Björn se rend compte qu'elle parle d'elle-même à la troisième personne. Elle semble se protéger, essayant de supprimer ses souvenirs douloureux.

Björn:"Ok Bibi. Laisse-le sortir. Les larmes sont bonnes, elles lavent notre tristesse de notre âme ".

Björn prend Bibi dans ses bras. Elle pleure sur sa poitrine forte et large. Quand elle se calme enfin un peu, elle essaie d'embrasser Björn. Björn essaie avec tact de les "rejeter". Bibi se blottit ensuite la tête contre l'entrejambe de Björn et tente d'ouvrir son pantalon. Il lui tient fermement les mains et la regarde au fond des yeux "non, pas du tout" lui dit-il.

Björn réconforte Bibi pendant un moment. Puis il rentre chez lui. Il est convaincu qu'Annika est encore quelque part dans cette poupée sexuelle vivante. A la maison, il pense à comment l'aider.

Il peut même l'aider? Et si oui, par où? Il ne peut pas claquer des doigts et tout défaire. Et Marcus est enfin toujours là.

Chapitre 2 - Je t'ai blessé

Mardi 8 juillet 2014, Björn a tenté d'atteindre Annika ces derniers jours. Mais le mur qu'il a tiré avec son lavage de cerveau dans la tête est haut et épais. Il a à peine pu la joindre. Et il doit être prudent. Parce que Bibi ne doit pas donner un mot de mort à son maître.

Björn a donc commencé à convertir Bibis Training. Il veut inverser l'hypnose sexuelle stupide et terne. Adoucit au moins dans la mesure où il peut ramener Annika doucement. Mais il ne peut pas la protéger de sa prochaine rencontre avec Marcus.

Marcus lui envoie un SMS. "Venez à cette adresse ce soir, à 21 h précises. Björn vous conduira ". L'adresse appartient à une maison de Nieder-Erlenbach. C'est une des nombreuses maisons que Marcus possède. Mais c'est une maison très spéciale. C'est juste en dehors de la ville, dans un petit coin habité. Il le partage avec des gens de même opinion, comme il les appelle. Des hommes comme Oliver, Frank, Steffen, Thorsten, Hendrik et Leon.

Il a fait reconstruire la maison de Léon. Léon est un bâtisseur et un sadique doué. C'est une vieille maison en briques, un bungalow, discret. Vieilles briques rouges, fenêtres en bois blanc et une porte blanche. Plutôt petit, il n' a pas 90,00 m². Mais un sous-sol sombre et effrayant à la place.

Comme souvent, Björn Bibi vient chercher Björn Bibi. Elle est plus poupée que jamais. Marcus ne l' a pas renvoyée chez le Docteur Beauté avant samedi. Les lèvres devraient être un peu plus grandes. Bibi porte une robe sans manches en bodycon rouge. Chaussures plates-formes blanches à talons hauts. Ses lèvres rouges sang sourient à Björn.

Björn conduit Bibi à sa rencontre avec Marcus. Il les attend déjà à la porte. Contrairement à d'habitude, il ne veut pas que Björn regarde. Marcus veut que Björn revienne et ramène Bibi chez lui. Il n'est pas à l'aise avec cette pensée, mais il suit les instructions de Marcus.

Marcus conduit Bibi à travers le rez-de-chaussée jusqu' à la cave. Il verrouille la porte. Il fait agréablement chaud au sous-sol. Les murs sont en pierre naturelle. Sur les murs, il y a des choses couvertes de feuilles noires. De grandes dalles de béton recouvrent le plancher. La pièce est bien éclairée. Au milieu il y a une petite table avec deux chaises, noir avec des décorations élaborées.

Le maître de Bibi a préparé un petit sac. Fruits frais, fromage, vin rouge. Une caméra avec un trépied est pointée sur les deux. Marcus est très charmant au début. Il fait une interview avec Bibi, mais elle ne s'en rend pas compte. Les deux verres à boire verre après verre de vin doux rouge. Au moins Bibi, Marcus renverse secrètement son verre encore et encore.

Bibi ne tarde pas à se soûler. Elle est chaude dans sa robe de velours rouge. Leon a mis des caméras dans la pièce. Et d'autres commodités. La conversation entre Bibi et Marcus se perd de plus en plus, elle s'éloigne, il ne reste plus rien de la charmante entrée.

Marcus:"Aimez-vous la maison Bibi".

Bibi:"Oui, c'est beau".

Marcus:"Mais trop cher pour une fille endettée comme toi."

Bibi:"Je ne sais pas. Pensez oui ".

Marcus:"Penser n'est pas ta force, Bibi. Personne n'aime les femmes qui pensent. Pas vrai "?

Bibi:"Tu as probablement raison."

Marcus:"Bien sûr que si. Tu veux une maison?

Bibi:"Oui".

Marcus:"J'ai une grande villa. Et des stands comme celui-ci. Peut-être trouverez-vous un homme pour vous construire une maison ".

Bibi:"Oui, ce serait génial".

Marcus:"C'est mignon comme tu le dis, très gentil. Un petit chalet avec mari et enfants, ça te plaît?

Bibi:"Oui, ce serait génial".

Marcus:"Uuuhhhhhh, petite Bibi. Je ne pense pas que ça va marcher ".

Bibi:"Penses-tu? Pourquoi "?

Marcus:"Aucun homme ne veut t'épouser, Bibi. Et vous ne devriez pas avoir d'enfants non plus ".

Bibi:"Pourquoi, qu'est-ce que tu veux dire?"

Marcus:"Tu es une petite salope stupide, Bibi. Votre maître a-t-il raison?

Bibi:"Je le pense, comme toujours".

Marcus:"Dis-le, dis ce que tu es".

Bibi:"Je suis une petite salope stupide".

Marcus:"Et que fais-tu avec des petites salopes stupides?"

Bibi:"Je, je, je, je, je ne sais pas".

Marcus:"Tu la baises, tu ne l'épouses pas. Personne ne veut épouser une idiote comme toi, Bibi. Dis que tu suces des bites parce que tu es stupide ".

Bibi:"Moi, moi, moi, non".

Marcus ne croit pas ses oreilles. Il assomme Bibi de sa main gauche plate. Sa claque passe dans tout le sous-sol, y compris l'écho. Bibi se met à pleurer et regarde la table. Marcus glisse autour de la table avec sa chaise, la prend dans ses bras et siffle doucement dans son oreille.

Marcus:"C'était trop serré ce petit Bibi".

Bibi:"Iiiiiiijaaaa".

Marcus:"Ça t' a fait mal?"

Bibi:"Iiiiiiijaaaa".

Marcus:"Tout est de ta faute. Parce que tu ne voulais pas dire la vérité. Dites la vérité, Bibi, vous sucez des bites parce que vous êtes stupide ".

Bibi:"Je suce des bites parce que je suis stupide"!

Marcus:"Et tu aimes me servir."

Bibi:"Iiijaaaa".

Marcus:"Dis-moi que ton cul est à moi."

Bibi:"Mon cul est à toi".

Marcus:"Ne dis pas que personne ne veut t'épouser parce que tu es un enculé stupide."

Bibi:"Personne ne veut m'épouser".

Marcus:"Parce que"?

Bibi:"Parce que je suis un enculé stupide."

Marcus:"Et des ordures comme toi ne devraient pas proliférer. Qu'est-ce qui pourrait en ressortir? Vos enfants seraient aussi stupides que vous. Et même s'ils étaient un peu plus intelligents, ils devraient avoir honte de leur mère. Dis que tu es trop stupide pour être une bonne mère ".

Bibi:"Je suis trop stupide pour être une bonne mère".

Marcus:"Qui est ton maître"?

Bibi:"Marcus est mon maître."

Marcus:"Mmmhhhhhh, Bibi. Ça descend comme du pétrole. Déshabille-toi salope ".

Intimidée, Bibi enlève sa robe. Jusqu' à ce qu'elle ne se tienne que dans sa micro-corde sur ses chaussures. Ton mascara l' a déjà perdu. Marcus lance Bibi un petit oreiller sur le sol. "Agenouille-toi, salope" - il la commande.

Marcus veut jouer un petit jeu avec Bibi. Elle doit mettre un os de chien dans sa bouche. Ensuite, elle devrait retourner les deux paumes vers le haut et les soulever comme si elle portait un plateau. Marcus arrache une récolte d'une pièce attenante.

Il est à côté de Bibi. Elle doit regarder profondément dans ses yeux. Ne la laisse pas détourner le regard ou lâcher l'os. Marcus la bat avec la récolte sur les paumes ouvertes de ses mains. Au début encore raisonnablement tolérable. Néanmoins, Bibi hausse les épaules encore et encore dans la douleur. Puis Marcus lève son épée.

Encore et encore, sa récolte saute en flèche. Ils ont frappé les paumes de Bibi avec un grand bruit. Ses mains enflent rapidement. Ils sont un peu rouges et brûlent partout. Bravement, Bibi essaie de maintenir la torture. Mais ce n'est pas le souhait de Marcus. Après tout, il frappe si fort que Bibi laisse tomber l'os. Elle crie et gémit de douleur. Ses larmes ont mouillé le plancher de béton.

Marcus:"Tu as désobéi. Vous n'aviez que deux missions. Pour me regarder et garder l'os dans ta bouche. Tu es beaucoup plus stupide et sans valeur que je ne le pensais ".

Bibi:"Je suis désolée. Mais ça fait tellement mal "!

Marcus:"Je connais Bibi. Mais les ordres sont des ordres. Je ne peux pas te laisser t'en tirer comme ça ".

Pendant que Bibi s'agenouille en pleurant sur l'oreiller, Marcus prépare la prochaine méchanceté. Aujourd'hui, il veut explorer plus avant les frontières. Il veut savoir jusqu'où il peut aller avec sa création. Qu'il filme tout ça, c'est juste un avant-goût.

Marcus va dans la pièce voisine. Ça grince, il pousse quelque chose dehors. C'est un tableau noir. Un modèle ancien, en bois et surface d'écriture verte. Marcus la met devant le mur.