20 Histoires de Sexe

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Aus der Reihe: Sexe et désir #3
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20 Histoires de Sexe
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Gloria Hole

20 Histoires de Sexe

Nouvelles érotiques pour adultes non censurés en français

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Inhaltsverzeichnis

Titel

By Gloria Hole

Une soirée en club échangiste

Une première fois assez insolite

Une inconnue dans le métro

Une histoire de filles

Un moment avec Margot

Confession d'une femme libertine

Avec mon épuse pur la premiére foi

Plaisirs charnels insoupçonnés

Notre vieux voisin...

Mon ex et moi..une suite..et..une fin..

Louanne fait de la photographie

Livraison spécial!

Découverte avec amie de ma mere

Les plaisirs quand il pleut pendant les vacances

Fantasme ou réalité

Le jardinier

La piscine

Douceur obsucre du passager noir

L ami Jeannot

Au restaurant

Impressum neobooks

By Gloria Hole

Histoires de Sexe

Grande Collection 3

Une soirée en club échangiste

J'avais un fantasme que je voulais réaliser : aller une fois en club échangiste du coin, le Palais des Sens à Portalban (en Suisse si jamais vous voyez pas!;-)). Etant séparé, la chose pouvait se faire relativement facilement: il m'a suffit de poster une annonce, moyennant une petite rétribution.

Une dame a répondu : Marie, 45 ans. Après quelques échanges par SMS, nous avons convenu d'y aller le vendredi suivant.

Nous nous retroûvames donc dans un bar à Neuchâtel pour boire un verre et faire connaissance. Elle m'aborda tout bêtement en me demandant si j'étais bien celui avec qui elle avait rendez-vous. Le choc : elle faisait certes un peu plus âgée que 45 ans, mais elle était pile mon fantasme : elle portait ce soir-la une jolie robe, mettant bien ses formes voluptueuses en valeur et surtout des bas-résilles blancs qui sont mon péché mignon. Nous avons parlé de nous pendant 1 heure et demie et je vous cache pas que je suis totalement infoutu de vous dire la couleur de ses yeux, tellement je regardais ailleurs ! Elle m'expliqua qu'elle n'a jamais été dans un club échangiste mais que c'était son fantasme. Elle voulait bien essayer mais elle ne voulait pas y aller avec n'importe qui. Les SMS que nous nous étions envoyés l'avais mise en confiance et elle était impatiente d'essayer avec moi, malgré notre différence d'âge (j'ai 30 ans).

Les choses sérieuses nous titillant, nous sommes partis pour Portalban, à 15 minutes de Neuchâtel. Pendant tout le trajet en voiture, je n'ai pu m'empêcher de la caresser. Je peux vous dire que ses bas et son mini string ont mis mon sexe en ébullition!

Arrivés au Palais des Sens, nous avons encore bu un verre et la, elle commença à m'embrasser, doucement d'abord, puis de plus en plus fort. Ce fut elle qui prit l'initiative de me faire monter dans les étages. Après une petite visite du lieu (et avoir matté un couple qui s'embrassait à qui mieux mieux dans un jaccuzzi)nous avons jeté notre dévolu sur une petite chambre pour faire mieux connaissance. Je lui enlevais sa robe et me trouvait face à une parfaite milf en mini-string, avec des seins qui commençaient un peu à tomber mais qui restaient très très excitants et lui enlevait son string. Nous nous sommes couchés et nous nous sommes embrassés comme un vieux couple d'amants. Nous avons commencé à nous caresser et je ne pus me retenir d'aller lui embrasser son petit clito. Elle tressailli immédiatement. Chouette, une clitoridienne !Je décidais de me réserver pour plus tard et me mis à lui faire une minette. Je dois dire pour mon lecteur que j'adore le cunni, c'est à mon sens un des plus beaux dons qu'un homme puisse faire à une femme. Je décidais donc de faire en sorte que cette première fois pour nous 2 soit inoubliable pour elle. Je la léchais pendant une bonne heure, alternant toutefois avec le reste de son corps quand elle jouissait, car elle n'aimait pas trop que j'insiste sur son clito après la jouissance. Une fois bien rassassiée, elle me proposa d'aller dans le jacuzzi où un homme était seul. Elle recommença à m'embrasser devant l'autre homme puis voulu me sucer. Las, le niveau de l'eau ne le permettais pas et je ne voulais pas que ma compagnonne de jeu se noie. Je m'asseyais donc sur le bord du jaccuzzi afin que Marie me tutoye le Nestor. Mes amis, je dois vous dire que cette dame savait y faire ! J'avais rarement reçu une telle pipe de ma vie ! L'homme à côté n'en perdais pas une miette et se mit à bander dur. Par pure vanité personnelle, je dois dire que j'étais plus gros que lui hé hé hé ! Toutefois, Marie vit la chose et lui proposa également une bonne manière. Inutile de dire qu'il ne se fit pas prier. N'y tenant plus, je proposais aux 2 autres d'aller voir dans un salon si on n'y était pas mieux.

L'autre homme se couchat sur le dos, Marie en profitant pour le sucer. Je me remis derrière elle et en profitais pour lui relécher sa chatte. Marie en voulais plus et me demanda de la prendre. Je ne me fis pas prier ! Le temps d'enfiler un petit capuchon et je pénétrai pour la 1ère fois ma compagnonne. Quel délice ! Pour une femme mûre, elle avait encore la chatte bien serrée, et je me mis à la baiser doucement, afin qu'elle apprécie le plus possible ce bon moment.

Au bout d'un temps, Marie me demanda de la sodomiser. Elle avait toujours voulu essayer une double et la son fantasme pouvait se réaliser. Je me retirais donc de son vagin et commença à lui préparer le cul avec ma salive. Elle continua pendant ce temps de sucer notre nouvel ami afin qu'il puisse la prendre également. Pas de chance, lui bandait mou pendant que moi je m'introduisais dans le petit trou de Marie. Quel délice !

Marie compris que notre nouvel ami n'arriverait à rien et lui non plus n'était plus dans le trip. Nous lui avons souhaité une bonne soirée et continué à 2. Une très belle soirée, même sans double !

L'heure avançant, je décidais de racommpagner ma nouvelle amie à Neuchâtel, où elle avait laissé sa voiture. Je lui proposai d'essayer avec une autre fille la prochaine fois, ce qu'elle accepta immédiatement ! Affaire à suivre donc !

Bises à toutes et à tous !

Une première fois assez insolite

Je me lancer et vais vous raconter une histoire qui m’est arrivée il y a quelques années alors que j’étais encore étudiant à Toulouse. Pour faire des économies, j’avais trouvé un petit studio que j’occupais moyennant quelques services chez un couple âgé à qui il appartenait. Eux même vivaient dans une maison près de mon immeuble. Je bénéficiais du loyer gratuit en échange de travaux dans leur jardin et leur maison. Ce qui m’arrangeait bien étant bricoleur et faisant des études d’ingénieur.

J’y allais en général le jeudi et le samedi ou dimanche. Quand j’y allais, je me changeais sur place pour y mettre un bleu de travail et faisait divers travaux pendant quelques heures. Ma propriétaire avait pris l’habitude de le laver régulièrement.

Pour me présenter rapidement je suis plutôt dans la moyenne inférieure, 1m74 pour 65kg allure plutôt sportive quelques poils sur le torse et plutôt un joli sexe bien proportionné. Depuis quelques mois, j’avais l’habitude de mettre des shortys de fille rien de sexy mais je les trouvais surtout plus confortables que des caleçons classiques. Shortys très sage mais la matière ne laissait peu de doutes. Niveau affectif, j’avais eu quelques amourettes mais nous n’avions jamais été au-delà des préliminaires à mon grand regret.

Cela faisait déjà quelques mois que j’étais chez eux et il ne s’était jamais rien passé, je faisais juste le travail demandé. Mais tout à changer un mois de mai particulièrement chaud. Je passais le coupe bordure depuis une heure et était en nage à cause du soleil et du moteur. J’étais torse nu et ne prêtais pas attention à ses regards (la pensant aussi très sage) quand Pauline, la propriétaire de 65/70 ans m’a appelé me disant d’arrêter et que je risquais de tomber dans les pommes par cette chaleur. Me proposant un verre de citronnade et de prendre une douche pour me rafraichir ce que j’acceptais avec plaisir. Je m’assis en la regardant du coin de l’œil : jupe juste au dessus des genoux, des cuisses un peu épaisses mais appétissantes, un débardeur classique, petite poitrine qui pointe légèrement mais il me semble sans soutien-gorge.

 

Après l’avoir bue, je suis donc allé dans leur chambre, m’y suis dévêtit et rentré dans la douche. Quelques minutes après alors que je profitais de cette douche bien méritée qui coulait le long de mon corps bien chaud et sous le coup de quelques caresses je bandais bien fort, j’entendis Pauline me crier « Nicolas je vous ai rapporté vos habits de rechange, je prends vos affaires sales pour les laver ».

Trop occupé à me caresser, je n’y ai pas prêté attention. Ce n’est qu’en sortant que j’ai réalisé qu’elle allait tomber sur mon shorty qui ne laissait aucun doute sur le fait qu’il était fait pour une femme sobre mais en satin. Il était de plus avec un petit liseré en dentelle que je n’avais pas vu au moment de passer la commande. En me rhabillant, je constatai qu’il était en effet parti à la machine avec le bleu de travail en espérant qu’elle ne l’ait pas remarqué.

- Ah vous voilà, ça doit faire du bien ? Vous avez fait du super travail encore une fois merci beaucoup de votre aide !

- Je vous en prie, ça me plait plaisir de bricoler et de jardiner et ces économies m’aident bien. Merci pour la douche je n’en pouvais plus.

- Par contre comment avez-vous fait pour votre sous vêtement ? Je ne me suis rendu compte que lorsque la machine tournait que je vous l’avais pris. Voulez-vous emprunter un de mon mari ou peut-être un des miens ?

Sur le coup, alors que j’étais d’humeur joyeuse après une bonne douche, mes caresses et mon érection de la douche, j’ai blêmi et débandé d’un coup. Et ai commencé à bafouiller. Euh pardon, comment ça… que voulez-vous dire ? Je vais y aller Madame, pardon en me dirigeant tout penaud vers l’entrée.

Ne soyez pas timide, je comprends tout à fait c’est plus joli et plus agréable à porter que ces slips moches. Et puis ne vous en faites pas je ne dirai rien à Michel. Alors vous voulez ?

J’hésitai un peu et finalement acquiesçai sans trop savoir à quoi m’attendre.

Nous sommes alors partis vers sa chambre où elle y a ouvert un tiroir me disant de prendre ce que je voulais. Tiroir rempli de sous-vêtements en tout genre de la culotte bien sage à des dessous bien plus sexy, je n’aurais jamais pensé qu’elle portait ça. Un peu timide j’y ai pris une culotte bien sage et suis parti directement la mettre. Mais Pauline m’a rattrapé en me tendant un string que je devinais très sexy.

« Essayez ça plutôt ! »

Direction la salle de bain, je l’avais à peine enfilé que je me suis mis à bander très fort alors que la vision était particulièrement ridicule. Mon sexe dépassant sur le côté de même que mes couilles ainsi que mes poils. J’étais vraiment gêné car je n’en n’avais jamais mis et n’avais jamais eu d’attrait pour ce genre de lingerie. Les shortys me suffisaient. Pourtant ce nouveau type de lingerie bien plus osé m’excitait.

Je remis mon pantalon et sorti en voulant rentrer au plus vite chez moi quoi que très excité.

Ben alors Nicolas vous ne me montrez pas ?

De nouveau, temps d’arrêt pour moi et sans réfléchir, j’ai baissé mon pantalon me retrouvant en string devant cette femme qui aurait pu être ma grand-mère. La queue ramollissant vu la situation étrange à laquelle j’étais confrontée.

Oh ben c’est mignon tout plein même si c’est un peu poilu ! Dit-elle en s’approchant et en posant sa main dessus. Je devenais complètement perdu, si j’avais su ça ! Jamais je n’aurais imaginé qu’elle soit comme ça.

Le simple contact de cette main un peu sèche mais si chaude me refit aussitôt bander. Elle me poussa délicatement vers le lit sur lequel je tombais sur le dos. Je fermai les yeux alors qu’elle commençait à me branler tout doucement tout en jouant avec mes couilles à travers le tissu. Mon sexe me faisait mal tellement il était bandé, mon frein me tiraillait. Le contact de ses mains chaudes, du tissu était tellement agréable, je m’abandonnai complètement. Après quelques minutes de pur plaisir elle se leva pour s’allonger à côté de moi en me disant « Fais-moi l’amour Nicolas » (première fois qu’elle me tutoyait)

Maladroitement je lui expliquai que j’étais puceau et que je n’avais pas de préservatif. Elle m’a regardé avec des yeux pleins de tendresse en me redisant « fais-moi l’amour ».

En quelques secondes je me débarrasse de mon tee-shirt, m’approche d’elle lui retire son haut, dévoilant une toute petite paire de sein (elle n’avait en effet pas de soutien gorge), un peu pendante mais très sexy (du moins à mes yeux) avec deux petits tétons dressés. Après quelques caresses, baisers et gémissements, je m’attaquai à sa jupe, me contentant de la remonter tellement j’étais pressé de voir ce qu’il y avait en dessous : une jolie culotte en dentelle légèrement transparente de laquelle dépassait des poils tout frisés blancs et gris. Je la retire et commence à embrasser son minou, tentant de faire comme dans les films mais avec beaucoup moins de succès. Les poils n’aidant pas forcément mais l’odeur très agréable et le gout salé me rendait fou et j’ai fait de mon mieux pour la contenter.

Quand après une ou deux minutes, elle me tire un peu les cheveux pour me faire comprendre de monter et de la prendre. Elle met alors un coussin sous son dos et moi j’approche ma queue bien dressée en partant du bas et commence à appuyer. Aie, mauvais trou ! Je remonte un peu plus, ça bloque. Encore un peu plus haut, je sens l’humidité, j’appuye d’un coup sec et ça y est ça rentre ! Ma première fois, enfin ! Je suis dans une chatte. Plus étroit que ce que je m’attendais mais on y est bien, c’est à la fois chaud et humide. Je reste en suspens profitant du moment, regardant mon sexe enfoncé jusqu’à la base. Nos pubis ne font plus qu’un.

Pauline ne dit rien, elle gémit un peu les yeux fermés ou mi-clos et commence à onduler légèrement du ventre.

Je pourrais mentir en disant que ça a duré longtemps et qu’elle a joui plusieurs fois mais il n’en n’est pas. Ses mouvements avaient à peine commencer que je savais déjà que je ne durerai pas très longtemps. Elle a dû sentir mon trouble car avec gentillesse elle m’a dit « Va y fort ne t’en fais pas c’est ta première fois fais toi plaisir». Je ne me suis donc pas retenu et en la tenant par les hanches, j’ai donné plusieurs grands coups sous ses gémissements. Ses mains me caressant les tétons, le dos, le ventre pour exploser en elle quelques coups de bassin après. Même si l’effort n’avait pas duré si longtemps, j’étais épuisé. Je suis resté un peu en elle pendant que je débandais doucement puis nous nous sommes pris dans les bras pendant quelques minutes. Elle ne disant rien juste quelques petits gémissements et moi « merci » en lui caressant le corps. Corps usé par le temps mais que j’appréciais.

C’était la première fois que je profitais du corps d’une femme et que c’était bon !

Une inconnue dans le métro

Le récit que je vous rapporte ici s'est produit ce printemps à Paris, à l'arrivée de la première vague de chaleur sur la France. Comme souvent dans ces conditions, chacun est ravi de se dévêtir après de trop longs mois d'hiver : les jupes courtes, robes sexy et petits hauts font le retour pour le plaisir de tous. Je trouve que l'on sent alors comme une vague d'excitation quasi palpable, certes plus masculine, mais pas exclusivement (les lectrices de cette histoire en attesteront peut être ;)). Les regards sont appuyés et des sourires coquins sont échangés. Ces attitudes sont d'autant plus présentes dans le métro parisien, en raison de la proximité.

Ce matin là, je pars pour le boulot. Mon métro est assez plein et je sens monter en moi de fortes envies à mesure que je vois ces jambes fines, ces seins, ces nuques dévoilées devant moi. J'échange de petits regards avec d'autres voyageuses. Certaines n'apprécient pas et je n'insiste pas bien entendu. D'autres en revanche, sont flattées de se sentir désirées et me le rendent avec ces petits sourires que je mentionnais plus tôt. Après 20 minutes de trajet, je dois changer de ligne.

Alors que je suis vraiment brûlant de désir en attendant le métro après toutes ces petites situations émoustillantes, une jeune fille arrive sur le quai. Elle a la trentaine comme moi, elle est black et, surtout, elle est incroyablement sexy. Elle porte une robe bleu turquoise qui lui arrive juste au dessus du genou et qui met en valeur son cul splendide (chacun son truc, moi ce sont les culs qui me rendent dingue : croyez moi que là, je suis servi). Et là, nos regards se croisent... Son regard n'est rien d'autre qu'un pur et violent appel au sexe... Des yeux de chatte ! Je lui rend bien, et nous nous sourions immédiatement. Nous gardons cependant quelques mètres de distance. Quand le métro arrive, elle s'approche et rentre dans le wagon par la même porte que moi. Je suis alors quasi persuadé que la demoiselle veut plus que de simples regards ! Elle me dépasse, je la suis et m'assois à côté d'elle. Je rapproche ma jambe de la sienne, et elle répond instantanément par de petits mouvements. Impossible de m'y méprendre à présent, on est en phase ! Après un court moment passé à nous caresser les jambes, je prends alors mon sac est le place de façon à nous cacher des femmes qui nous font face, pour ne pas mettre mal à l'aise ma délicieuse inconnue. Je glisse alors ma main sur sa cuisse. Sa peau est douce, sensuelle. Elle écarte presque instantanément ses jambes, de façon à me laisser plus de liberté. Je continue à la caresser, remontant peu à peu vers son entre jambe... Une de nos voisines se lève alors et change de siège : nous nous sommes complètement oubliés et elle a dû se sentir un peu de trop ! Pas du tout refroidi, je continue ma progression mais, elle m'arrête juste avant que je ne puisse sentir sa chatte. Je la regarde : d'un sourire, elle me désigne notre deuxième voisine qui ne sait visiblement plus où se mettre non plus !

Son arrêt arrive rapidement (j'ai raté le mien depuis longtemps ;)). Alors qu'elle passe devant moi pour descendre, je remarque qu'elle a oublié son sac : je l'att**** et descends pour le lui rendre. Elle m'a avoué après n'avoir absolument pas fait exprès ; son imaginaire l'avait emmenée bien loin, et moi avec ! Je lui propose de prendre un café et elle accepte. Nous discutons rapidement de nos vies. J'apprends notamment qu'elle est mariée, qu'elle est

Martiniquaise et qu'elle s'appelle Alisée. Elle travaille juste à côté et nous décidons d'aller nous balader avant qu'elle n'embauche. On s'arrête une première fois sur un banc d'une grosse artère parisienne, mais on touche à l'intimité zéro. Nous trouvons finalement une petite rue et nous asseyons sur le rebord d'un bac de plantes. Notre discours change subitement : je lui dit qu'elle est superbe. Elle me réponds que je suis pas mal non plus (ça fait toujours plaisir, qu'en pensez-vous mesdames ?). Je lui dit que ses jambes m'ont rendu fou et je recommence à écarter sa robe (en portefeuille, ce qui me permet de ne pas la mettre totalement nue dans la rue). Je remonte jusqu'à son cul, que je peux enfin saisir à pleine main et à même la peau car elle porte un tout petit string. Elle sourit mais semble un peu intimidée (il est tout de même environ 10h, un jour de semaine en plein Paname !). Elle me demande ce que je veux. Je lui réponds "ça", en repassant par dessus sa cuisse et en lui caressant doucement sa chatte à travers ses sous-vêtements. Elle soupire "Arrête, pas ici", mais ne fais rien pour s'opposer à mes doigts. Elle est complètement trempée, je n'ai jamais, mais vraiment jamais, vu ça chez une femme... Un homme s'approche au loin et je dois me dégager. Elle reprend ses esprits et m'embrasse à pleine bouche, laissant exploser son envie.

Alisée me dit qu'elle doit absolument aller bosser. Je tente de l'en dissuader en ressaisissant son cul et en lui murmurant que nous avons bien mieux à faire. Je sais me montrer persuasif et lui propose de trouver un hôtel. Elle accepte sans hésitation. Elle vérifie que j'ai des capotes : en homme prévoyant, j'en ai toujours sur moi ! Nous cherchons alors un hôtel dans le quartier et ne tardons pas à trouver. Le trajet qui nous y mène n'est que caresses : elle passe pour la première fois sa main sur ma queue. Je vous laisse imaginer la gaule que j'ai... Laissez moi vous dire que mon jean a été mis à dure épreuve ;) On ne peut toutefois pas se laisser aller, car son boulot est dans le coin.

 

Arrivés à l'hôtel, le temps de remplir les papiers est interminable... Pendant que je fais le check in avec le réceptionniste, elle me masse mon cul. Je le cambre légèrement pour qu'elle puisse immiscer sa main et caresser mon petit trou... Je finis par recevoir la clé. Dans l'ascenseur, on se lâche, en s'embrassant de nouveau rageusement. Je choisis mon mot car cela fait bien une heure que nous avons commencé notre petit jeu et nous n'en pouvons tout

simplement plus ! Arrivé dans la chambre c'est l'explosion. On se retrouve à poil en deux secondes. Elle se met à genou et me prend dans sa bouche. Ses lèvres, son regard, son index qui s'est légèrement enfoncé dans mon anus : c'en est trop... Je lâche tout dans sa bouche, et suis pris d'une violente série de spasmes de plaisir. C'est fou ce que j'ai joui... On dit que les orgasmes féminins sont plus intenses que ceux des mecs : je peux vous dire que j'ai découvert la part de femme qui sommeille en moi ce jour là !!! Le temps que je reprenne mes esprit, je l'ai prise debout contre le mur. Elle a joui, à son tour secouée par le plaisir. Je n'ai pas tardé à la rejoindre une nouvelle fois... Nous avons finalement discuté de nouveau sur le lit, tendrement cette fois. Nos corps étaient complètement vidés. On a continué à parler sexe. Elle m'a dit adorer la sodomie, mais ne s'était pas offerte à moi car elle n'avait pas vraiment prévu les évènements de cette matinée. J'étais bien frustré de n'avoir pas goûté à cette pratique qui m'est toujours inconnue... Elle est finalement partie de la chambre. On ne s'est rien dit et avons juste échangé un dernier regard complice. Nous ne nous sommes pas donné nos numéros et, même si je le regrette certaines soirées, je pense que c'est pour le mieux. Cette rencontre restera unique et c'est très bien ainsi !

J'espère que mon récit vous a plus ;) N'hésitez pas à commenter et à me laisser de petits messages : je les adore ! Enfin, mesdames, n'hésitez pas à m'envoyer à poster des photos de vous si mon histoire vous a donné du plaisir.