20 Histoires de Sexe

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Aus der Reihe: Sexe et désir #1
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20 Histoires de Sexe
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Gloria Hole

20 Histoires de Sexe

Nouvelles érotiques pour adultes non censurés en français

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Inhaltsverzeichnis

Titel

Vieux prevert

Une soirée chez un ami

Premier orgasme.

Sauna

Escapade sexuelle imprévue avec une jeune femme

Une jeune beurette affamée

Barbara cougar d'internet

L’imprévu

Poker

La chandelle

Je domine mon mari

Jeune femme curieuse et sa première fois av

Leçon particuliére pour Juliette

L'ami de Mathéo

Mon premier Gang bangs

Tromperies sur internet

Première expérience en club

Qui a le plus beau cul ?

Rencontre quand j'était lycéen

Anniversaire inattendu

Impressum neobooks

Vieux prevert

Histoires de Sexe

Grande Collection 1

By Gloria Hole

Ce jour là, on était allé voir un match de hockey, un match important de play-off que je ne voulais louper pour rien au monde. Laura n’aime pas trop venir au match avec moi, « une bande d’hommes stupides bourrés de testostérone qui supportent une dizaine de bûcherons patinant après un bout de plastique » dit-elle, elle était donc venue à contre cœur, ou plutôt pour passer du temps avec moi, car c’est vrai qu’à cette époque, nous n’avions pas beaucoup de temps à nous, à cause des cours.

Nous avons donc pris le train, puis le bus jusqu’à la patinoire où avait lieu le match. Laura était habillée d’un pantalon noir moulant ses jolies fesses et d’un pull colle roulé car il faisait un peu froid dans la patinoire. Je dois dire qu’elle était très sexy et que beaucoup d’hommes l’ont regardé.

Il y avait déjà beaucoup de monde qui faisait la queue pour entrer dans l’enceinte, ce qui mit ma douce moitié d’une humeur plutôt mauvaise. C’est pour cela que quand nous sommes enfin entrés, elle a voulu directement aller s’acheter des cigarettes et s’acheter à boire. Evidemment qu’il y avait de nouveau la queue, c’est pour cela que nous avons pris directement 3 bières chacun afin de ne pas revenir à chaque pause. Nous sommes ensuite aller dans les gradins, nous étions à des places debout. Vu que le match était important, la patinoire était pleine et nous étions tous serrés.

A côté de nous, il y avait un homme d’une cinquantaine d’année et sa fille qui devait avoir à peu près notre âge, les deux semblaient être de fervents supporters. L’homme semblait déjà avoir un peu bu vu l’enthousiasme avec lequel il parlait à sa fille, mais sans être ivre. Laura, elle de son côté, avait bu ses 3 bières en à peu près 10 minutes et le sourire lui revenait gentiment.

Nous nous fîmes un tendre baiser et la bonne humeur était revenue. Le match commença, notre équipe dominait et le public était très agité. Après une dizaine minute de jeu, le premier but arriva, les supporters exaltaient, les gens se serraient, sautaient, nous étions comprimé les uns contre les autres et c’est à ce moment que je vis l’homme effleurer les fesses de Laura. Il n’a sûrement pas du faire exprès me dis-je. Je demandais à Laura qui me dit qu’elle pensait également qu’il n’avait pas fait exprès. Nous nous sommes embrassé et le jeu a repris.

Le deuxième but arriva immédiatement après le premier ce qui déclencha une nouvelle cohue. Nous étions à nouveau balancés les uns contre les autres. Je vis à nouveau l’homme effleurer les fesses de Laura comme si c’était involontaire mais cette fois il le fit plusieurs fois de suite. Il n’y avait plus de doute, ce n’était pas tout à fait involontaire. J’étais un peu jaloux mais très excité par la situation, je sentais mon sexe grandir dans mon caleçon. Laura me regarda et me dit : « on peut échanger de place, le vieux en fait il fait exprès de me toucher les fesses ». Et c’est là que je ne sais pas pourquoi, l’excitation et l’alcool je suppose, mais je lui glissais à l’oreille : « non, reste ! Moi ça m’excite », ces mots sont sortis tout seul de ma bouche comme s’ils s’étaient échappés, je ne revenais pas de ce que je venais de dire. Laura me regarda un peu bizarrement mais resta à sa place.

Le match avait repris, toujours avec autant d’ambiance dans le public. Moi, de mon côté, j’avais de la peine à me concentrer sur le match car je n’arrivais pas à décoller mes yeux des fesses de ma chérie. Je m’imaginais les mains du « vieux » se poser à nouveau sur ces deux formes, Jamais avant je n’aurais cru que de voir Laura se faire tripoter m’aurait excité et en plus à ce point.

Un supporter se frayait un chemin pour aller aux toilettes, ce qui entraîna un petit mouvement de foule à notre hauteur. Je fixais les fesses de Laura, et là je vis la main du vieux se poser clairement sur le postérieur de ma copine, cela ne dura pas longtemps mais cette fois il avait fait plus que de les effleurer, il les avait tripotés. Sa main entière s’était posé sur le pantalon moulant et il y avait même eu un minuscule mouvement de ses doigts. La fesse droite de Laura s’était alors légèrement déformée sous l’attouchement de cette main étrangère. L’homme qui avait une trentaine d’année de plus que Laura, faisait comme si rien ne s’était passé et parlait même avec sa fille, qui n’avait, elle, rien vu tout comme le reste du public d’ailleurs. Laura me regarda droit dans les yeux, je lui souris, elle me rendit mon sourire et nous nous sommes embrassés.

J’observais l’homme, je suivais la trajectoire de ses yeux. Il regardait le match mais de temps en temps ses yeux se détachaient du jeu pour plonger sur le petit croupion de ma bien-aimée. L’homme ne savait absolument pas que j’avais remarqué son petit jeu. Je n’en pouvais plus tellement mon sexe était comprimé dans mon pantalon, lui, devait être au moins dans le même état que moi.

La première pause s’approchait, il ne restait que quelques minutes. Le quinquagénaire était toujours à côté de Laura, j’avais l’impression qu’ils étaient collés, ils n’étaient en fait pas plus collé lui et elle que moi à elle, nous étions tous collé à notre voisin en fait. Sa main pendait à coté de Laura, elle s’approchait de plus en plus de ce terrain désormais connu. Ce pervers profita que tout le monde soit attentifs au 30 dernières secondes - sa fille y compris- pour poser sa main une nouvelle fois sur la fesse droite de ma copine, il l’a laissa cette fois quelques secondes et malaxait tout doucement. Laura, elle, se laissait faire et regardait le match. Après 10 secondes de ce traitement, Laura descendit sa main et caressa celle du vieux d’un léger mouvement pour lui signifier cette fois d’une manière certaine son accord. La cloche sonna la pause et l’homme enleva rapidement sa main.

Laura m’embrassa à nouveau et nous décidâmes d’aller nous chercher quelque chose à boire et surtout parler de ce qui s’était passé. Nous avons pris à nouveau 3 bières chacun, sans doute pour pimenter encore un peu ces instants. « Je bande comme un fou » lui ai-je avoué. « Tu as vu comme il m’a touché le cul » me lança-t-elle d’un air excité, je lui fis un hochement de la tête et elle ajouta « je mouille comme jamais mon chéri, surtout ne le prend pas mal. On peut tout arrêter et aller regarder le match ailleurs si tu le veux. Mais la situation m’excite vraiment. » « Tu sais la situation m’excite aussi et je ne le prends pas mal, à près tout c’est moi qui ait voulu ce qui arrive… je t’aime » terminai-je.

Je la pris par la main et l’emmena où nous étions précédemment. Le vieux était toujours là avec sa fille. Nous bûmes rapidement nos bières et le match recommença. Pendant les 10 premières minutes les mains de l’homme restèrent sagement à leur place et mise à part quelques regards furtifs rien ne se passa. J’étais déçu et croyait que le petit jeu était finit. Laura me regarda et me fit une sorte de sourire qui, je ne le compris qu'après, voulait dire « tu veux qu’on continue à jouer ? », je le lui rendis. Un court instant après je vis ma chérie faire une sorte de petit mouvement du bassin et se frotter discrètement les fesses contre les jambes tendues de l’homme. Celui-ci a réagit tout de suite et, toujours discrètement, commença a caresser la cuisse droite de Laura. La fille, qui était de l’autre côté de l’homme et qui regardait le match, ne voyait toujours rien. Moin de mon côté, je regardais du coin de l’œil pour ne pas me faire repérer. Le vieux remontait toujours un peu plus haut sa main et arrivais maintenant vers la braguette du pantalon de Laura. Sa main était toujours collée au pantalon de ma douce et faisait des petits mouvements circulaires. Laura avait fermé les yeux et son visage exprimait la jouissance, elle se mordait les lèvres. Je vis que Laura faisait de petits mouvements en avant pour encore intensifier la jouissance du traitement que ce pervers lui faisait subir. Les doigts du vieux appuyaient sur l’avant du pantalon et ce dernier devait appuyer sur le clitoris de Laura car à chaque mouvement des doigts elle avait un léger spasme. Leur manège commençait à devenir un peu voyant et c’est sans doute pour cela que le quinqua retira sa main.

 

A ce moment là ma tête allait exploser, ce flot de jalousie et d’excitation me prenait jusqu’au plus profond de mes nerfs. A ce moment là, tout ce passa extrêmement vite. Tellement vite, que je n’eus même pas le temps de me demander si ce qu’il se passa plus tard était réellement ce que je voulais.

L’homme dit quelque chose à sa fille et fit une petite tape sur les fesses à Laura il se dirigea vers la sortie où se trouvaient les toilettes… J’avais maintenant tout compris à son plan mais avant même que je puisse réfléchir si je voulais vraiment cela, ma douce moitié était déjà partie en direction des toilettes sans même me consulter, pire, sans même me regarder. J’étais comme paralysé, mes muscles étaient tétanisés, ma tête ne fonctionnait plus, tellement il y avait de questions qui la traversaient. Qu’allaient-ils faire ? A ce moment là est-il à l’intérieur d’elle ? Est-ce qu’elle jouit ? J’étais bouleversé, mais d’imaginer ma petite amie à genoux, tirer une pipe à un homme beaucoup plus âgé qu’elle me faisait bander au plus haut point.

Ils disparurent pendant plus de 10 minutes. Inutile de vous dire que les minutes furent des heures et que je n’étais plus très attentif au match. La fille du vieux regardait toujours le match avait autant de passion et ne semblait pas se soucier de l’absence de son père.

Je vis Laura revenir, le vieux lui n’était pas encore là. Il revint que quelques minutes après avec deux boissons, au cas où sa fille se serait posé des questions sans doute. Laura vint se mettre devant moi, je la pris alors dans mes bras. Il fallait que je sache vite, que je sache enfin ce qu’il avait fait à ma copine. Sa bouche vint se coller à la mienne, nos langues se rejoignirent. Je sentais sa langue tourner autours de la mienne comme si ma langue était un phallus. Nous arrêtâmes de nous embrasser et faisions semblant de regarder le match. Je descendis ma main jusqu’à l’entrée du pantalon de Laura, avec l’autre main je descends au maximum sa veste afin de cacher la pénétration de ma main dans son pantalon. Arrivé à l’intérieur, première surprise, Laura n’a plus de string. J’entre alors 2 doigts dans sa petite fente mouillée afin de trouver d’éventuelles traces de pénétration, sa petite chatte est trempée mais il ne me semble pas qu’elle soit assez dilaté pour qu’elle ait été pénétrée. N’en pouvant plus de douter je lui glisse alors à l’oreille : « tu l’as sucé ? ». Elle met fait alors un signe négatif de la tête. Je décide donc de vérifier la troisième possibilité sans trop y croire, je passe ma main derrière, glisse mes doigts entre ses fesses et son pantalons. Mon index se pose sur son petit trou du cul, je constate qu’il est mouillé, je le fait alors pénétrer quelques centimètre et constate que l’anus de Laura est dilaté, dilaté comme jamais il ne l’a été. Mon doigt n’a aucune peine à entrer jusqu’au fond du cul de ma copine, le canal est gluant et dilaté jusqu’au plus profond. Je retire ensuite mon doigt, un long fil de sperme suit. Laura pousse, joue avec son sphincter afin de vider son rectum bien rempli. Je sens le sperme sortir sous forme de petits pets qui viennent s’écraser dans ma main. Je sors ma main du pantalon, je la regarde, fasciné par ces trainées blanches qui ont envahit ma copine. Laura lèche alors ma main et avale jusqu’à la dernière goutte le sperme du vieux pervers…

Laura me raconta plus tard que le vieux l’attendait devant les toilettes. Qu’ils étaient entrés dans une cabine ensemble, sans se parler. Arrivés dans la cabine il l’avait traité de salope et l’avait sauvagement déshabillé. Il l’a ensuite peloté tellement fort qu’elle en avait mal. Il lui a alors introduit un doigt dans la fente mais ne s’y pas attardé longtemps. « il n’y avait que mon cul qui l’intéressait, il voulait juste m’enculer » m’a-t-elle dit plus tard. Il l’a alors mise à 4 pattes et lui a léché l’anus en vitesse, lui a inséré directement 2 doigts. L’homme l’insultait tout en lui « travaillant le cul » comme il disait. Il s’assit alors sur les toilettes et demanda à Laura de s’asseoir sur lui, tout en écartant ses fesses. Laura m’avoua que l’immense bite du vieux (comme elle l’appelle) eut de la peine à entrer, c’est pour cela qu’il maintenu une pression de ses main sur ma copine pour l’obliger à s’asseoir sur sa bite malgré la douleur qui la traversait. Ce pervers lui transperça littéralement le trou du cul. Laura au quelques larmes mais l’alcool faisait toujours son effet et l’aida à apprécier cette sodomie. Son anus était maintenant bien dilaté et elle pouvait faire de petits sauts sur son vieux pervers. A ce moment là elle se sentait remplie comme jamais, elle prenait réellement du plaisir. L’homme se contracta et Laura sentit son anus se remplir jusque tout au fond. Jamais elle n’avait connu une telle dose de sperme l’envahir. Le pénis qui était au fond d’elle, lui propulsa une dizaine de jets qui allaient tapisser les parois de son rectum. Après quelques secondes de repos, Laura se leva, se retira du pénis déjà à moitié mou. Le vieux se rhabilla, prit le string de Laura dans sa poche et repartit sans même lui dire un mot.

Une soirée chez un ami

Ce soir je vais chez mon ami. Je pars donc à l’aventure. Je dois prendre le bus car ma voiture est en panne. Il est tard et je ne suis plus rassurée que ça. Les passagers y sont rares. Il y a un homme d’une trentaine d’année avec un ami. Je m’assoie, seule, dos au chauffeur. Je ne me rends pas compte que les hommes se dirigent vers moi. Un mec s’assoit à côté de moi. Surprise, je ne dis rien, je ne bouge pas. Pourquoi s’assit-il à côté de moi alors que toutes les places sont libres ? Brusquement, L’homme prend ma main sans m’avertir et la pose sur son entrejambe. Figée, je ne bouge pas, je ne sais pas comment réagir. Je sens son membre se gonfler à travers le tissus de son pantalon. Les autres passagers ne voient rien. Je commence à mouiller ça m’excite. Je m'enhardie et je bouge ma main pour frotter cette bosse qui bande pour moi. Sa queue semble massive, et à l'étroit dans le pantalon. Une foule d’idée me passe par la tête. Dois-je prendre l'initiative et sortir son pénis à l'étroit? J'ai envie de mettre sa main entre mes cuisses ? Son pote nous regarde avec un petit sourir, puis, alors que je m'attendais à être abusée, il se lève en rigolant avec son camarade et me laisse ainsi, moite et chaude. Ils descendent du bus en me faisant un coucou d'adieu. Je suis là, assise, à les voir s’éloigner sur le trottoir frustrée. J’ai envie de descendre moi aussi et de leeurs dire de me baiser comme une chienne. Je suis arrivée à destination avec une envie folle de me caresser. Je descends de l’autobus et me rends à mon rendez-vous.. Il m’a dit qu’on serait entre amis, 4 ou 5, pas plus. Je ne connais pas ses amis. Je frappe à la porte tout en repensant à ma petite aventure dans le bus. Je sens que je mouille encore. Je suis perturbée par cette expérience. Mon ami ouvre la porte, m'embrasse affectueusement et me dirige vers le salon. Dans le salon et la fête bat son plein. Il y a quatre mecs qui visiblement on déjà bien picolé. Je suis la seule fille. Je m’en fou car je ne suis pas ici pour me faire fourrer. Juste pour passer une bonne soirée. Ils me servent à boire et l'alcool aidant, je parle de ma mésaventure du bus. Désinhibée par l'alcool et l'ambiance, je leur avoue que cela ne m’a pas laissée indifférente. Bien grise maintenant, je ne me rends pas compte qu'ils sont très intéressés par mon récit et ils me posent des questions coquines auxquelles je réponds. Je vois bien que ça les excite et j’adore ça. Je joue avec le feu et sans m’avertir l’un prend ma main et la pose sur son membre.

« Alors il a fait comme çà le mec? »

« Oui oui, exactement comme ça! ».

Et, pour leurs grand bonheur, je me met à faire comme dans le bus. Je pétris et frotte ma main sur cette bosse que je sens grossir sous le pantalon. Je vois les quatre autres qui nous regardent. Mon ami se contente de me regarder d’un air pervers. L’un des mecs s’approche et m’écarte les jambes. Il enfourne sa mains sous ma jupe et m’enlève mon string. Mon ami, regarde la scène, amusé. Il quitte la pièce et me laisse avec ces quatre comparses. Des doigts s’amusent avec mon clitoris et les gars ayant maintenant sorti leurs bites, je me retrouve avec une queue dans chaque main. Je les masturbe doucement et les caresses sur ma chatte trempée me font gémir de plaisir. Le quatrième me présente sa tige devant les lèvres. Je l’engouffre dans ma bouche. On me met ensuite à, quatre pattes et celui qui me tripotait le minou entreprend de s’amuser avec sa langue sur mon anus et mon vagin. Les mains qui parcourent mon corps lève mes dernière inhibitions. Je ne contrôle plus rien, je me laisse aller. Je vois mon ami qui revient avec un collier et une chaine à la main. Je ne comprend pas bien se qui se passe et où il veut en venir mais il me met le collier autour du coup, alors que je continue de sucer la queue de son ami. Il attache le collier à la chaine et attache celle-ci à l’anneau qui sert de suspensions à une plante.

« Les amis! Maintenant qu'elle est bien chaude on va se servir d'elle comme d'une petite chienne soumise à nos services! »

Il me lève et je me retrouve presque suspendue comme un vulgaire morceau de viande chez le boucher. Il me déshabille et je trouve çà plutôt amusant comme situation. Maintenant, je suis nue devant cinq gaillard et totalement exposée à leurs folies sexuelle. Il monte le son de sa chaine hifi et met «AGNOSTIC FRONT - "For my Family" » .

Il s'avance vers moi. Je me demande ce qu’il va m’arriver. Les cinq sont maintenant nus aussi et me dévore des yeux. On croirait voir des fauves prêt à s’attaquer à leur proie. En fait c'est vraiment ça, je suis la proie. Je mouille au point que ma cyprine coule le long de mes cuisses. J’ai envie de me faire baiser. Mon ami à l’air d’être le plus pervers des cinq. Je ne le savais pas comme ça. Il me regarde d'une manière qui me dérange. J’ai un peu peur. Que va-t-il me faire ? Mais je me laisse faire et ne pose pas de question. Je suis saoule et j’ai perdu mes inhibitions et ça m’excite profondément. Mon ami lance à un de ses pote : « vas-y ».

Son ami s’avance vers moi et me pénètre d’un coup sec. Je mouille tellement qu'il n'a aucun mal à me fourrer. Il s’acharne sur mon corps me pilonnant sans ménagement et je gémie de plaisir.

« Ouiii défonces moi !!! »

Il me bourre plus rapidement que ce à quoi je suis habituée. J’en ai le souffle coupé. Les trois autres me regardent et se masturbe avec des sourires de pervers. Mon ami, lui, regarde la scéne d’un air satisfait. Un deuxième décide de m’enfoncer son pénis dans la bouche pendant que son copain me secoue. De ses mains il me tient la tête et il baise la bouche. Sa queue cogne au fond de ma gorge et j’ai des larmes qui coulent. J’aime ça ! J’aime me sentir leur objet sexuel à leur disposition. Les deux s’activent en moi, brutalement. Le troisième me malaxe les seins. Pendant un temps qui me semble interminable, les cinq hommes me malmènent, chacun à leur tour, en duo ou en trio. Je suis épuisée et mes trous me font mal. J'ai eu de nombreux orgasmes et je n’en peux plus. Je n’ai qu’une envie c’est dormir. Du sperme me coule entre les jambes. Il est chaud et épais. J’ai toujours aimé cette sensation d’être remplie à tel point que j’en déborde. Du sperme envahit ma bouche et je l’avale. Une nouvelle queue s’installe et jouis à son tour dans ma bouche. J’avale à nouveau. Je leurs souris béatement. J’ai chaud et j’ai mal à la mâchoire de l’avoir grande ouverte tout ce temps. Les mecs ayant jouis de moi, épuisés, s’avachissent dans le canapé. Mon ami qui n'a pas encore participé, se lève et s’approche de moi.

 

« T'es épuisée ma petite salope? »,

Je réponds par un hochement positif de la tête. Il me détache et m’amène dans sa chambre. Je pense que je vais pouvoir me reposer mais il me couche dans son lit et m’attache sur le dos, jambes et bras écartelés.

« Dors !» m’ordonne t il. »

Totalement nue, attachée, poisseuse, irritée et gavée de plaisir, malgré une position inconfortable, je m’endors dans le lit de cet homme que j’avais toujours considéré comme un simple ami. Quelques heures plus tard, Je suis réveillée par des mains parcourant mon corps endormi. C’est mon ami, il joue avec moi. Il est seul, je ne sais pas où sont ses amis. Je me demande si je vais une autre fois servir de poupée gonflable. Il commence à me lécher doucement, du bout de la langue. Il joue avec mon clitoris. Il le mouille, l’agace et le titille. Moi qui pensais être rassasiée, j’ai encore envie. J’ouvre les yeux, penche la tête pour le regarder. Il me fixent et m’embrasse à pleine bouche. Je suis toujours et je me laisse faire. Je sens son gland qui se fraye dans ma chatte si accueillante. Il me regarde droit dans les yeux et me pénètre doucement sans mot dire. Une fois totalement enfoncé en moi, j'ouvre la bouche d'extase et laisse échapper un gémissement. Il en profite pour y insérer deux doigts que je me met à sucer. Ce sont par des mouvements lent et délicat qu’il m’utilise. Il prend son temps et j’apprécie ces moments délicieux. Mon vagin se contracte au rythme de ses pénétrations. J’aimerai que ce moment dure le restant de la nuit. Je ferme les yeux et me laisse aller. Il m’embrasse les seins, les mordille, les lèches. Je veux m’offrir à lui, le laisser prendre possession de mon être. Ses mouvements s’accélèrent, s’intensifient. Il ne me baise pas, il me fait l’amour. Sa verge se tend, se gonfle. Il est sur le point de jouir en moi, sans condom. Je n’ai pas d’autre choix que de le laisser se vider en me regardant dans les yeux. Son sperme par saccades coule en moi. Il reste au plus profond quelques instants et se retire. Il m’embrasse sur le front et me dit simplement , merci tout en me détachant. Je me suis rendormie pleinement satisfaite.

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